Tiré d'un light novel, Sword Art Online conte les aventures plus ou moins virtuelles de joueurs piégés au sein d'un MMORPG, dont on ne peut espérer se sortir "réellement" vivant qu'en atteignant le centième palier. Une intrigue et une mise en abîme idéales pour une adaptation vidéoludique (sur PSP puis PS Vita), quoique
/!\ ATTENTION! Ce test comporte des spoilers sur l'anime Sword Art Online /!\Tiré de l'anime éponyme, Sword Art Online Hollow Fragment (SAOHF) est la deuxième adaptation en jeu vidéo de l'univers de Reki Kawahara, mais la première à arriver hors du Japon. Je vous rassure tout de suite, vous ne manquerez rien : le premier titre, Sword Art Online Infinity Moment, est entièrement
Super Heroine Chronicle (SHC) part d'un principe simple : faire un gigantesque cross-over reprenant des héroïnes célèbres apparues dans les animes de ces dernières années. La parité n'étant pas à l'ordre du jour, les garçons ne sont pas invités. C'est donc entre filles que se règlera ce tactical-RPG au contenu conséquent.SHC fait un choix artistique que je ne partage pas, à savoir
Di Gi Charat, ambassadrice moe d'après les écrits d'Hiroki Azuma (Génération Otaku), possède un CV impressionnant. En effet, après avoir été la mascotte de la chaîne de magasins Gamers au Japon, elle fit l'objet de publicités télé, d'anime, livres et autres jeux vidéo (Di Gi Charat Fantasy sur Dreamcast puis PS2 par exemple). C'est d'ailleurs dans ce dernier domaine que l'on retrouve
Il n'aura échappé à personne (sauf, peut-être, à celles et à ceux qui ne courent pas vite dans leur tête) que la sulfureuse Lady Gaga, à l'instar de Matrix (et avec une subtilité équivalente), aime à s'approprier les codes d'une contre-culture populaire dont nous sommes tous ici de frénétiques consommateurs. Ceci, avec force emprunts, clins d'oeil et hommages appuyés qu'en langage