L'avantage quand un produit n'est pas encore disponible, c'est que les petits malins qui ont eu le privilège de pouvoir l'approcher peuvent se permettre de raconter ce qu'ils veulent : nous sommes bien obligés de les croire sur paroles. De toutes façons, sur Internet, c'est bien connu : on peut raconter n'importe quoi, et néanmoins récolter des louanges...
Prenez la future PlayStation 5, par exemple : comme ce cher Milord, nous ne l'avons jamais vue, ce qui n'empêche pas Sony de savamment teaser ce qui se cache dans ses entrailles, détaillant ici ou là des spécificités techniques qui vont bien.
Déjà qualifiée de "console la plus rapide du monde" par Usain Bolt le constructeur lui-même, nous apprenons aujourd'hui que la PS5 serait en sus particulièrement facile à appréhender pour les studios de développement.
C'est en tout cas la version officielle défendue par Jim Ryan, récemment interrogé par le site Games Industry :
Il y a une chose qui me rend particulièrement optimiste, c'est que les développeurs et éditeurs nous font part de la facilité avec laquelle ils parviennent à coder sur PlayStation 5, une facilité qui va bien au-delà de l'expérience qu'ils ont pu accumuler sur les autres consoles de la marque.
Après les déboires en la matière qu'avaient pu connaître les studios sur la génération PlayStation 3, la facilité de programmation de la PlayStation 4 avait été attendue au tournant. Qu'en sera-t-il réellement pour la prochaine génération de consoles du constructeur japonais ?
Réponse en 2020, a priori.