Cet article a été initialement publié en octobre 2016. Nous le republions à l'occasion de la sortie de Resident Evil 7. Aimer la VR est une chose (et c'est le cas de Julien, vous le savez), mais prévenir les joueurs sur de potentiels risques ou chocs émotionnels nous paraît aussi responsable. Nous sommes tous différents, et chacun est évidemment libre de son usage. A ce titre, vos avis et retours d'expériences nous intéressent, n'hésitez pas à les partager dans le forum ci-dessous.


Attention, il ne s'agit ni de stigmatiser, ni de jouer les rétrogrades ou les pères censeurs. Vous me connaissez, ce n'est pas le genre de la maison. Juste de questionner et réfléchir à l'aune de mes expériences récentes en réalité virtuelle avec des contenus "horrifiques".

Mais depuis plusieurs mois je constate, après avoir essayé de nombreuses expériences VR horrifiques, que cela n'a rien à voir avec les peurs ressenties face à un "simple" écran. De cinéma ou TV.

S'infliger de réelles souffrances, vivre intimement des choses qu'on refuserait en réel, est-ce que notre cerveau est vraiment prêt ? Notre coeur aussi ? Les éditeurs ne devraient-ils pas se poser la question de comment prévenir au mieux les joueurs des risques potentiels encourus ?

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