Parmi les plus grandes injustices constatées dans la courte histoire du jeu vidéo, impossible de ne pas en placer une pour Clover Studio, fondé par d'anciens développeurs émérites de Capcom, et qui avait été obligé de mettre la clé sous la porte après avoir accouché du fantastique Okami. La vie est décidément trop injuste.
Vous êtes nombreux à pester sur ces jeux qui n'en finissent plus de sortir et de ressortir, et nous ne vous comprenons que trop bien. Mais lorsque cette règle s'applique à un chef d'oeuvre qui n'a pas rencontré le succès escompté, c'est un peu l'exception qui la confirme, la règle.
Parce qu'un grand reste quoi qu'il arrive un grand jeu, et que certaines injustices méritent même après plus d'une décennie d'être réparées, Okami opère un énième fat come-back, en haute définition s'il vous plaît.