Après les franchises cultes du cinéma, c’est au tour d’une licence vidéoludique d’avoir droit à une revisite façon LEGO ! Et pour cette première, c’est une exclusivité PlayStation qui s’y colle, et pas des moindres puisqu’il s’agit de Horizon. Pour l’occasion, le studio Guerrilla Games reprend du service afin de réinventer sa propre création, mais il n’est pas seul dans cette entreprise. Il peut compter sur le soutien du Studio Gobo. Ensemble, ils ont assemblé LEGO Horizon Adventures, une nouveauté qui débarque le 14 novembre 2024 sur PS5, Nintendo Switch et PC.
C’est un défi de taille qui incombe à Guerrilla : transposer un open-world riche et particulièrement identifiable dans un format réduit, au ton diamétralement opposé. Avec LEGO Horizon Adventures, le studio tente ainsi de donner une toute autre impulsion au voyage initiatique de son héroïne Aloy dans cet univers post-post-apocalyptique qui mêle des décors naturels somptueux où interagissent humains et machines géantes à formes animales. On avait déjà une toute petite idée de ce que cela pouvait rendre visuellement, puisqu’un set LEGO officiel est sorti il y a quelques années déjà. Mais, traduire cela sous forme de jeu, c’est une autre paire de manches. Alors, la réussite est-elle au rendez-vous ? C’est ce que nous allons voir, dans notre grand test !
L’appel d’une aventure en briques
Pour qui est habitué aux jeux LEGO, la réécriture de Zero Dawn dans ce Horizon Adventures ne sera pas une surprise. Ne vous attendez pas à retrouver la trame exacte de la première grande quête d’Aloy. Tout n’est que parodie ici. L'histoire reprend çà et là les grands événements du jeu original, généralement mis en scène de façon beaucoup plus humoristique. C'est donc avec beaucoup de prises de libertés que le scénario s'assemble au bout de la manette.
Ce nouveau jeu nous invite dans les Terres sauvages, au cœur du village Nora, pour revivre plus ou moins les débuts d’Aloy jusqu’à la conclusion de Zero Dawn. Notre héroïne doit de nouveau apporter la paix dans les contrées alentours, luttant contre le terrible plan d’une tribu adverse et les machines corrompues qui mettent à mal la vie des habitants. Mais d’autres révélations l’attendent… Aloy est, là encore, en quête de son identité, tandis qu’un complot se joue en coulisses. Tout ça est évidemment l’occasion de sketchs bien sentis qui s’amusent de l’écriture du jeu original.
Dans l’ensemble, LEGO Horizon Adventures rejoue le voyage de l’« élue » à sa manière. Le déroulé de l’histoire se fait de manière chapitrée, avançant par zones géographiques. Le village Nora sert ainsi de hub vers chaque région, ou plutôt vers chaque décor. Comprenez que les zones ne sont pas détaillées sur le plan du lore. De ce fait, on ne va pas à la rencontre des différents peuples et, plutôt que des régions avec une histoire, on passe d’un tableau forestier, à une montagne enneigée ou encore à une jungle. Ce sera donc avant tout aux connaisseurs de faire le lien entre le paysage qu’ils traversent et les lieux connus de la franchise Horizon.
Pourtant, croiser concrètement les différentes tribus aurait apporté plus de convivialité, a fortiori au sein de leur ville ou village. À la manière d’un LEGO Harry Potter où on se balade dans les lieux iconiques de la licence, on aurait eu plaisir à faire de même ailleurs que dans la capitale Nora. À la place, cette adaptation se focalise donc sur les environnements naturels. C’est une autre approche qui ne manque pas de charme tant le soin apporté à leur conception est appréciable, mais, on en ressort moins attachés aux endroits et aux peuplades que dans le jeu original. Même les quelques quêtes annexes de ce Horizon Adventures se concentrent avant tout au sein du village Nora ou s'appuient sur les combats en extérieur. C’est donc une occasion manquée de s’enfoncer dans l’univers général, cette itération se maintenant toujours en surface comme vous le constaterez assez vite.
Dans cet ordre d’idées, LEGO Horizon Adventures met plutôt un quatuor de personnages en exergue. On part ainsi à l’aventure avec Aloy, qui se voit accompagnée de trois autres personnages jouables : Varl, Teersa et Erend. C’est l’occasion de mettre en avant des personnages certes importants dans la version de départ, mais davantage en retrait. Chacun sera ainsi caractérisé sous forme d’archétype, comme le héros maladroit, la sage qui cache bien son jeu ou encore l’homme à la force brute. En parallèle, d’autres PNJ de premier plan ont aussi droit à leur mise en lumière, à l’instar de Rost et Sylens par exemple. Ainsi, on retrouve la plupart des personnalités qui marquent l’histoire originale. Voilà qui devrait donc parler aux fans. En mêmte temps, ça fera (à peu près) connaître aux néophytes les personnages qui comptent dans Zero Dawn.
En outre, l’écriture du jeu repose essentiellement sur les interactions entre ces derniers. On avance dans l’histoire globale de chapitre en chapitre. Mais, ce sont les dialogues qui rythment l’aventure au-delà du seul gameplay. Plus encore, tous les moments capitaux de l’intrigue sont orchestrés sous forme de gags. Cela fait évidemment partie des poncifs des jeux LEGO, mais, on n’est pas face au meilleur de la formule. Sans que ce soit vraiment terrible, les blagues tombent tout de même souvent à plat et sentent même le réchauffé. Horizon Adventures manque malheureusement de créativité par rapport à ce qu'on a pu connaître sur d’autres réinterprétations briquesques. On a bien quelques rictus çà et là, mais on se surprend peu, voire pas du tout, à rire ouvertement. Le plaisir du jeu sera à chercher plutôt du côté du gameplay.
Horizon refabrique son jeu façon LEGO
Mêlant action et aventure, ce nouveau jeu Horizon tente de retransmettre les sensations de la franchise tout en l’adaptant à la sauce LEGO. Ainsi, ne vous attendez pas à partir à l’aventure dans un vaste open-world, comme dans le jeu original. Comme expliqué précédemment, on avance par chapitres. Ça pourra en dérouter certains, mais là, c’est en fait un choix malin. De cette manière, Guerrilla Games parvient à transposer le voyage d’Aloy dans Zero Dawn d’une façon compatible avec les moyens déployés pour cette relecture de moindre ampleur.
L’aventure se centralise ainsi au sein du village Nora dont est originaire Aloy. À partir de ce hub, l’héroïne est invitée à passer d’une région à l’autre. Oubliez donc les longues traversées à dos de machine. Ici, il vous suffit de vous rendre aux différentes portes du Cœur de la Mère, la capitale de tribu, pour être transporté directement à l’entrée de chaque zone géographique. Il ne vous reste plus qu’à vous enfoncer dans le décor qui vous tend les bras pour expérimenter l’essentiel du gameplay de LEGO Horizon Adventures, en solo ou en duo. Car, une fois de plus pour un jeu estampillé de la marque des briquettes, la coopération est possible localement. À tout moment, vous pouvez laisser un second joueur allumer la manette pour rejoindre la partie en cours de route. Avec une sortie quasiment en parallèle de Horizon Zero Dawn Remastered sur PS5, on pense immédiatement à la possibilité de partager l’expérience avec les enfants qui auraient envie d’essayer le jeu original, moins adapté à leur âge. Si vous avez un doute, vous êtes ici sur un jeu PEGI +7 et non +16, comme à l’origine.
Chercher les briques pour la (re)construction du village Nora
L’histoire de LEGO Horizon Adventures suit donc une progression en chapitres, chacun étant décomposé en plusieurs niveaux. Ceux-ci se divisent entre les passages “couloirs”, consacrés à l’exploration en avançant en ligne droite, et les arènes de combat. On progresse dans ces environnements à la troisième personne, comme d'accoutumée dans les jeux LEGO. Cependant, ne vous attendez pas à suivre d’aussi près votre personnage incarné que dans un Star Wars. Ici, on en est plus loin, dans un vue entièrement isométrique. Cela donne l’occasion d’observer le paysage à loisir, facilitant la progression dans le décor. Aloy se retrouve de nouveau à escalader ponctuellement les surfaces qui s’offrent à elle. Des tyroliennes sont également installées, comme dans Horizon Zero Dawn, pour nous faire passer d’une zone à une autre. En plus de traduire une distance de la caméra déjà présente dans les jeux originaux, cet éloignement avec le personnage joué apparaît comme un moyen plus pratique de lire l’environnement.
Cette lisibilité est notamment utile dans les phases d’exploration des passages “couloirs”. D’abord, elle permet de distinguer les différents chemins qui s’offrent souvent à nous. Il ne s’agit pas d’embranchements qui ont une incidence scénaristique. Ce sont simplement des raccourcis ou des moyens de passer d’un point à A à un point B différemment. Ça nous procure un léger sentiment pas déplaisant d’avoir le choix, même si c'est très limité. Ensuite, c’est là qu’on va pouvoir trouver des objets cachés par exemple, qu’il s’agisse de coffres ou de vestiges du passé à reconstruire après qu’ils sont tombés en ruines, imitant avec humour les découvertes d’Aloy dans les Horizon originaux. Bien qu’ils ne soient jamais difficiles à trouver, les uns comme les autres sont souvent un peu cachés. Parfois, il faut aussi faire preuve d’un peu d’astuce pour y accéder. On peut notamment être amené à brûler des éléments végétaux qui dissimuleraient un coffre. Ce sont des mécaniques sympa à mettre en application. Cela dit, davantage de complexité pour proposer de véritables énigmes environnementales n’auraient pas été de refus pour nous stimuler plus fortement pendant l’exploration. Dans le même temps, tel quel, cela s’adapte bien à un public même jeune. On en conclura que c'est un mal pour un bien.
Il ne faudra donc pas trop se casser la tête pour récolter ce qu’on peut trouver en chemin, à savoir la monnaie du jeu (les tenons) répandue directement sur notre route. Mais, on la gagne également dans les coffres, en venant à bout d'ennemis ou réparant les vestiges en ruines. Et de l’argent, il vous en faudra dans LEGO Horizon Adventures pour laisser libre cours à toute la personnalisation offerte par le jeu. Que ce soit pour changer la tenue d’Aloy et ses compagnons d’aventure ou pour rebâtir le village Nora, il y a de quoi faire. Le (gros) chantier que représente ce dernier occupera le plus votre attention.
En effet, à chaque nouveau chapitre disponible, une nouvelle zone s’ouvre dans le Cœur de la Mère. Ainsi, en plus de bâtiments pratiques comme celui du tailleur, qui sont rebâtis automatiquement en terminant certains niveaux, tout un tas d’autres à but décoratif sont mis à disposition pour être reconstruits. La quantité est là, et la variété des skins disponibles ne manque pas. D’ailleurs, ils empruntent aussi bien à l'esthétique d’Horizon qu’aux licences LEGO originales (Ninjago et LEGO City). Que ce soit pour changer le toit d’une bâtisse, aménager sa cour ou changer ses couleurs, le processus est satisfaisant mine de rien. On prend vite le temps de réfléchir à quoi rebâtir à quel endroit. Qui plus est, les PNJ nous gratifient de quelques lignes de dialogue au fur et à mesure que le village s’enrichit, donnant le sentiment qu’on ne fait pas ça pour rien finalement. Pourtant, dans les faits, à part pour compléter quelques quêtes annexes qui vont donner accès à encore plus d’emplacements à reconstruire, ça n’apporte vraiment pas grand-chose, mais c’est un plaisir gratuit que les esprits créatifs ne bouderont pas. Pour les autres, ils trouveront sans doute leur joie ailleurs.
LEGO Horizon Adventures à l’assaut des machines
L’autre point-clé du gameplay de ce nouveau jeu LEGO, ce sont les combats. Entre deux moments d’exploration des niveaux, on tombe sur des arènes où ont lieu l’essentiel des affrontements avec les ennemis. On croise bien quelques adversaires dans les passages “couloirs”, mais ces rencontres sont plus anecdotiques. Les batailles ont donc lieu principalement dans des espaces dédiés, plutôt larges, pour permettre de se déplacer sans difficulté et, surtout, de voir les opposants apparaître non seulement par vagues, mais aussi en nombre. L’enchaînement avec les phases d’exploration fonctionne bien. On sait à quoi s’attendre à quel moment, c’est clair et efficace. Quoi demander de plus ?
Une fois dans l’arène, c’est le moment de faire preuve de vos capacités en combat. LEGO Horizon Adventures se présente alors comme un twin-stick shooter, un type de gameplay qu’on retrouve dans Weird West, Unter the Gungeon ou Aliens: Dark Descent par exemple. La précision est donc de mise pour viser les ennemis à l’aide du joystick, tout en adaptant la puissance de vos attaques. C’est un choix original pour un jeu LEGO, qui offre une expérience nouvelle aux aficionados de la formule. La conséquence directe en termes de style de jeu en combat, c’est que les personnages ont tous une approche à distance, à l’exception d’Erend, même si chacun dispose d’une arme différente des autres : Aloy utilise son arc, la lance est attribuée à Varl, tandis que Teersa use d’explosifs et Erend de son marteau. Chacun aura aussi ses spécificités, facilitant parfois les recherches dans les passages “couloirs”, mais c’est surtout pendant la bataille que les différentes sensations se feront ressentir. Ainsi, les joueurs pourront rapidement adopter le personnage dont ils préfèrent le style d’attaque. Et, s’ils jouent à deux en coopération, leurs compétences pourront se compléter pour pimenter la partie.
Notez en outre que des armes spéciales viennent relever le tout. Là aussi, on va en trouver qui seront réservées à tel ou tel individu. En outre, on en a des secondaires à disposition qui sont utilisables par tous. Les unes et les autres permettent d’asséner des attaques plus puissantes. Elles sont aussi un moyen d’appliquer des altérations de statuts, comme dans Zero Dawn. Ainsi, un arc enflammé brûlera les ennemis tandis qu’une vague de gel les immobilisera, par exemple. En plus d’emprunter intelligemment ces armes spéciales au jeu original, elles ajoutent une légère dimension stratégique qui dynamise les combats.
Mais attention, les ennemis ne manquent pas de ressources non plus. Les humains sont plus embêtants que vraiment dangereux. Ils ne font pas énormément de dégâts pour la plupart. Par contre, ils accaparent vite notre attention par leur nombre. Les machines sont plus redoutables. Évidemment plus puissantes, elles peuvent vite devenir un véritable enjeu quand elles se multiplient ou que la quantité d’adversaires est conséquente. Mais c’est véritablement lorsqu’on repart dans des zones déjà visitées une fois un chapitre terminé, que l’enjeu devient plus intéressant. Les différentes régions hissent alors leur pavillon de chasse, un peu comme dans Zero Dawn, pour proposer des affrontements de machines plus coriaces. Voilà qui devrait plaire aux amateurs de défis, et ce d’autant plus au niveau de difficulté le plus élevé.
Cependant, le plaisir en combat n’est pas aussi savoureux qu’on aurait pu le souhaiter. Les idées de gameplay de LEGO Horizon Adventures ne sont pas mauvaises, mais manquent de maîtrise dans leur mise en place. Par exemple, l’absence d’un bouton d’esquive se fait cruellement ressentir, a fortiori quand on pense au jeu original où on y a très souvent recours. À l’inverse, comme dans ce dernier, les batailles sont vite confuses. La lisibilité permise à l’écran par la vue isométrique est gâchée, sur console du moins, par la visée au joystick qui sera toujours moins précise que sur PC et un temps d’action insuffisant. On se retrouve régulièrement à tirer une flèche juste à côté d’un ennemi ou à lancer des explosifs à côté. Un système de verrouillage n’aurait donc pas été de refus, ou tout bonnement une hit box plus adaptée concernant les adversaires humains, bien plus petits que les machines. Même si l’expérience est loin d’être difficile, on se dit que les mécaniques auraient mérité plus d’optimisation.
LEGO Horizon Adventures résonne comme un (beau) coup d’essai
Au terme de ce test, LEGO Horizon Adventures se présente comme un set bien emballé. Il pousse les jeux LEGO encore plus loin visuellement, avec des décors travaillés et des effets qui fonctionnent très bien. La lumière rebondit joliment sur les briques. La texture du plastique brillant se perçoit à l’œil. On sent que Guerrilla Games a pris plaisir à nous faire redécouvrir son univers avec Gobo. L’apparition des machines, dont les reproductions sous forme de briques sont plus que convaincantes soit dit en passant, fait l’objet d’animations captivantes. Que ce soit en mode Fidélité ou Performance sur PS5, c’est un délice pour les yeux. L'un des secrets derrière cette réussite tient dans la main : les équipes ont travaillé à partir de vraies briques LEGO. Le seul bémol notable serait du côté du premier, qui subit du clipping dans les décors, même si ça reste discret. On espère donc que le rendu tient la route du côté de la Nintendo Switch, plus sujette à ce genre de problèmes avec les jeux gourmands.
Il n’empêche que, comme dans les jeux originaux, le soin accordé aux décors et le travail sur les machines font, là encore, partie des points forts du titre, tout comme la musique. Quel plaisir de retrouver les thèmes originaux ! Ils ont été réarrangés avec une pointe de fantaisie pour coller à l’aspect haut en couleurs des jeux LEGO. La composition en est moins épique, mais c’est cohérent avec ce Horizon Adventures. Cela se ressent jusque dans les doublages. Comme toujours avec les jeux de la formule, tout est tourné en dérision. Alors, que ce soit en VO ou en VF, tout le monde joue le jeu, quitte à dénaturer un peu les personnages au service d’un modèle qui a fait ses preuves. On le redira à nouveau, c’est seulement dommage que l’écriture ne suive pas. Car le casting, lui, se donne à fond, en particulier Ashly Burch, l’interprète originale d’Aloy en anglais. Habituée également à doubler des dessins animés ou des personnages loufoques, elle adapte parfaitement le ton de l’héroïne ici.
En fin de compte, LEGO Horizon Adventures laisse un sentiment d’inachevé. À de nombreuses reprises, le titre aurait mérité d’être plus efficace. Humour, combats, exploration, tout fonctionne correctement sans atteindre l’excellent, loin de là. La lassitude se fait alors vite ressentir face à un jeu trop redondant. Il ne manque pourtant pas d’idées, mais ne le pousse pas assez loin pour captiver pleinement. Heureusement, on a toujours la possibilité de s’y essayer en coopération. Voilà qui promet d’oublier les manques flagrants du titre en s’amusant avec un proche en local. En solo, en revanche, on n’y passera probablement que peu de temps. Il vaut sans mieux avancer par petites sessions pendant ces 7-8 heures qui nous attendent. Ainsi, on conservera aussi intact que possible le plaisir que le jeu procure avant de nous plonger dans l’ennui.
À la fin, on retiendra ce qu’il aurait pu être… ou ce que pourrait être une suite qui reprendrait alors la trame de Forbidden West, voire l’adaptation d’une autre exclusivité PlayStation. Car le potentiel pour étendre les relectures façon LEGO est bien là. Il ne reste plus qu’à le réaliser pleinement dans de futures créations. Malgré tous les petits détails qui nous emballent, on souhaite vraiment que d'autres tentatives voient le jour.