Sommaire
3. Eternal Darkness : Sanity's Requiem
Le jeu d'action-aventure de Silicon Knights, paru en 2002 sur GameCube, a son réservoir de fans. Et pour cause : d'inspiration Lovecraftienne, il nous plonge de manière permanente dans la folie la plus pure, étalée sur plusieurs histoires et différents siècles.
Quand il s'agit de nous prendre à revers, il n'y va pas avec le dos de la cuillère, comme au bout de cet extrait plutôt calme et qui bascule en une fraction de seconde dans la terreur, à la cool.
2. Condemned : Criminal Origins
Si le jeu de Monolith Productions ne vous a pas fait péter un câble, c'est qu'il vous manque quelque chose. A nombre d'endroits, il a su provoquer chez le joueur la réaction souhaitée : une frousse dite "de bâtard", suivie en règle générale de quelques noms d'oiseaux choisis avec discernement.
La vidéo avec Mr Tibbits ci-dessus, très revigorante, est l'exemple qui nous vient le plus rapidement à l'esprit en matière de bond incontrôlé. Mais n'allez pas croire qu'on pourrait oublier de vous proposer un bonus Classe Mannequin pour votre fidélité.
C'est un peu là où tout a commencé. Le premier moment d'apesanteur horrifique homologué, en quelque sorte. 1996, le premier Resident Evil déboule sur PlayStation et révolutionne le jeu vidéo en nous collant une frousse indicible.
Le moment qui fera bondir des millions de joueurs à travers le monde reste et restera, à jamais, celui où des chiens zombifiés vont s'inviter à la fête. Et pas par la porte principale, que vous avez barricadée... La légEEEEEEEEEEENDE. Oh, bordel, ça me fait toujours le même effet.