À noter que le jeu sera accessible gratuitement sur Nintendo Switch à condition de souscrire au Online + Pack additionnel, qui offre accès à de nombreux autres titres cultes du géant japonais réintroduits sur sa console hybride phare. Il s'agit néanmoins pour beaucoup de fans de la firme d'une très bonne nouvelle, compte tenu du statut vraiment mythique du titre sorti à l'origine sur Nintendo 64.

La Nintendo Switch accueille bientôt un autre monument de la N64

Le compte X.com officiel de Nintendo of America a il y a quelques heures seulement annoncé qu'un grand jeu de l'ère 64 arrivera sur Nintendo Switch la semaine prochaine, le 25 octobre, et pas n'importe lequel : Banjo-Tooie, un titre proprement culte développé par Rare, sorti en 2000 sur la console emblématique de Big N, puis en 2009 sur Xbox 360, suite au rachat du studio par Microsoft en 2002 (et dont le directeur, Craig Duncan, vient tout récemment d'être promu au rôle de directeur de Xbox Game Studios).

Pour rappel, Banjo-Tooie est la suite de l'excellent Banjo-Kazooie sorti en 1998 sur la même console. Nous y incarnons, comme le nom le laisse sous-entendre, Banjo, un ours, et Kazooie, un oiseau. Après avoir vaincu Gruntilda dans le premier jeu, l'improbable duo vont devoir l'affronter à nouveau alors que ses sœurs ont trouvé un moyen de la ramener parmi les vivants. Une aventure dangereuse et bien déjantée les attend donc, qui a fait le grand plaisir des joueurs sur N64 à son époque, et sera donc enfin accessible sur Nintendo Switch dans une toute petite semaine.

Pour (re)découvrir ce grand jeu de Rare (à qui l'on doit également sur la console les mythiques Conker's Bad Fur Day, GoldenEye 007 ou encore Perfect Dark, excusez quand même du peu), il est obligatoire de souscrire à l'abonnement Nintendo Switch Online + Pack additionnel, tarifé à son prix normal à 39,99 euros par an. Pour rappel, ce pack offre l'accès à un large panel de classiques des anciennes consoles de Nintendo comme la N64 ou encore la Game Boy Advance. Que le jeu en vaille la chandelle ou non dépend de la sensibilité de chacun.