À LIRE
Comment Activision France ne paye presque pas
d'impôts en France


Comme le rapporte BFM TV, l'ex-patron de Vivendi n'a pas mâché ses mots lorsqu'il fut question d'évoquer la vente de l'activité jeu vidéo du groupe français. Morceaux choisis : 

Cette activité est essentiellement basée sur deux jeux, World of Warcraft et Call of Duty, donc elle est fragile. Lors du rachat d'Activision, nous comptions beaucoup sur Guitar Hero, qui a disparu en six mois...

A chaque fois qu'il y a un massacre, les assassins sont dopés à Call of Duty. Même le vice-président américain a commencé à s'émouvoir de cette activité. 

Les membres du conseil de surveillance commençaient à être gênés. Et Disney, qui était le seul groupe intéressé et avait les moyens de racheter, nous a finalement dit : "on ne peut pas racheter".

La licence Call of Duty et ses milliards générés semblait donc de plus en plus embarrassante pour le groupe français... qui au passage semble ne pas avoir noté que la marque Skylanders, beaucoup plus zen, générait déjà plus de revenus que le Goliath militaire