Ce week-end se tenait, virtuellement, la QuakeCon 2020. Au lancement de l'événement tenu par Bethesda, ce cher Shinji Mikami, père de Resident Evil désormais à la tête de Tango Gameworks, est intervenu pour parler de son nouveau rejeton, non sans humour.
Réapparu en juin dernier pour montrer du gameplay, en vue subjective, Ghostwire : Tokyo a encore beaucoup à montrer pour nous convaincre totalement. Enfin, peut-être pas tant que ça.
Shinji Mikami a profité de la QuakeCon at Home pour partager son petit message enregistré en toute sécurité dans les locaux de Tango Gameworks. Et celui-ci s'achève avec l'annonce d'une fonctionnalité dont personne ne connaissait l'existence :
Je demandais pourquoi les choses me paraissent si dures ces derniers temps, et j'ai réalisé que cela faisait trente ans que j'étais dans l'industrie. Je préférerais ne pas devenir un fossile de l'industrie du jeu, alors je vais faire de mon mieux pour être un fossile bien en vie. Maintenant, parlons de Ghostwire : Tokyo. Merci de votre superbe accueil de notre trailer de gameplay. Nous travaillons dut pour rendre le jeu encore plus cool et unique. J'ai une annonce très importante au sujet de Ghostwire : Tokyo.
Dans Ghostwire : Tokyo vous pourrez... caresser le chien.
Voilà, vous savez tout(ou). C'était une manière comme une autre de rappeler l'existence de ce titre orienté action et occulte, qui vous fera affronter d'étranges créatures dans une capitale japonaise vidée de ses habitants, avec une note d'humour qui ne fait de mal à personne. Enfin, peut-être allez-vous vous sentir offensé(e). Mais dans ce cas éteignez vos écrans, respirez, et réfléchissez vraiment au sens de votre vie.
Et pour beaucoup de joueurs qui surveillent le célèbre compte Twitter répertoriant les productions dans lesquelles il est possible ou non de câliner les meilleurs amis de l'homme, ce Shiba Inu est déjà une bonne raison de craquer pour Ghostwire : Tokyo, attendu sur PS5 et PC pour 2021.