Le prochain Far Cry donne des nouvelles, et le moins que l'on puisse dire, c'est que tout n'est pas tout rose pour la célèbre licence de FPS. Que sait-on ?
Nouveau coup de tonnerre chez Ubisoft ! C'est un énorme chamboulement pour le prochain Far Cry, avec une nouvelle qui pourrait bien tout changer et surtout retarder le FPS. À quoi faut-il s’attendre pour l’avenir de la saga ? Que se passe-t-il exactement ? Réponse !
Far Cry est dans le brouillard
Ubisoft continue de revoir sa stratégie. Cette fois, c’est Maverick, un jeu multijoueur basé sur l’extraction et la survie, qui est remis à zéro. Prévu à l’origine comme le mode en ligne de Far Cry 7, il était devenu un projet indépendant en 2023. Mais après plusieurs mois d’évaluation, Ubisoft a décidé de tout repartir de zéro.
Maverick devait plonger les joueurs dans un Alaska hostile, où il fallait survivre face aux éléments, aux animaux sauvages, à des ennemis contrôlés par l’IA et, bien sûr, aux autres joueurs. Mais en décembre 2024, un signe annonciateur de la fin est apparu. L’équipe technique Talisker, qui soutenait le projet, a été redirigée vers Blackbird, le nom de code de Far Cry 7. Sans ce soutien, Maverick a été mis en pause, avant qu’Ubisoft ne décide de le rebooter totalement.

Un nouveau départ
Désormais, Ubisoft Montréal et Ubisoft Sherbrooke vont devoir repenser entièrement le concept. Pendant ce temps, Ubisoft Berlin, qui travaillait aussi sur le jeu, a redéployé plusieurs développeurs sur Far Cry 7 et d’autres projets. Mais une cinquantaine d’employés restent sans affectation pour le moment.
Pendant que Maverick repart de zéro, le FPS numéro 7 continue son développement. Mais le projet devient de plus en plus gros et coûteux. Plusieurs studios y travaillent, dont Ubisoft Montréal, Berlin, Annecy et Redstorm. Malgré ces défis, les premiers playtests sont encourageants. Des sources internes évoquent un gameplay plus fluide et des mécaniques de déplacement repensées. Mais une sortie en 2026 reste incertaine, le projet prenant de plus en plus d’ampleur.
Source : Tom Henderson