Cyberpunk 2077 s'est offert une collaboration de choix pour bien terminer 2024. Cependant, le résultat ne plait pas à tout le monde. Un développeur prend donc la parole pour calmer le jeu sur les réseaux.
Ça a pris du temps, mais Cyberpunk 2077 a décroché définitivement ses lettres de noblesse. Quatre ans après sa sortie, le jeu continue de passionner le public. Preuve en sont tous les projets qui l'entourent en attendant sa suite ! Toutefois, certaines initiatives ne convainquent pas toujours totalement les fans. Mais les équipes de CD Projekt ne se démontent pas et un développeur défend un choix qui fait débat auprès de la communauté.
Le choix de V de Cyberpunk 2077 s'explique
L'actualité autour de Cyberpunk 2077 est bien remplie ces dernières semaines ! Entre la nouvelle adaptation prévue chez Netflix, le jeu de société qui lance ses précommandes et les diverses mises à jour qui continuent de s'enchaîner, il y a de quoi faire pour les fans.
Cependant, une déception est née chez certains après une collaboration inattendue. Pour Noël dernier, la licence a rejoint le roster de Fortnite. Cela aurait dû être un moment heureux pour les aficionados du Battle Royale d'Epic Games également fans de Cyberpunk. Seulement, le résultat n'était pas forcément à la hauteur de leurs attentes.
De fait, deux personnages de Cyberpunk 2077 ont été mis en vente sur la boutique de Fortnite : Johnny Silverhand et la version féminine de V. Or, beaucoup auraient aimé jouer le protagoniste masculin. En conséquence, des voix se sont élevées pour exprimer leur mécontentement sur les réseaux sociaux.
Face à cet énervement palpable, un développeur ayant travaillé sur Cyberpunk 2077 a pris la parole afin d'expliquer ce choix. Ainsi, Patrick K. Mills explique que l'initiative est de lui. D'une part, il précise qu'il « apprécie V (femme) un peu plus » que sa version masculine. Ensuite, il ajoute qu'il y avait déjà une représentation masculine dans cette collaboration avec Fortnite avec le skin de Johnny Silverhand. « Voilà tout », comme il conclut lui-même.
Source : Patrick K. Mills.