Annapurna Interactive, l'éditeur réputé qui a supporté d'excellents jeux comme Outer Wilds ou Stray, a tout récemment créé la surprise totale en annonçant une démission en masse au sein de sa direction. Pour ses prochains titres tels que Control 2, Remedy avait toutefois signé un accord de co-financement avec la structure. Ce qui pouvait légitimement inquiéter quant à l'avenir. Mais il y aurait finalement plus de peur que de mal.

Remedy garde le Control 2 sur l'avenir de ses futurs projets

Après l'excellent Control premier du nom, Remedy a racheté les droits de la licence à 505 Games, s'offrant ainsi un... contrôle total sur l'avenir de cette dernière. L'actuellement en développement Control 2 sera donc techniquement un jeu « indépendant », contrairement au magistral Alan Wake 2 édité par Epic Games. Remedy a toutefois signé un accord avec Annapurna pour co-financer ce projet visiblement d'envergure. Mais le célèbre éditeur vient tout récemment d'être chamboulé par des démissions en masse.

Légitimement inquiets, de nombreux fans se sont alors demandés ce qu'il adviendrait de Control 2 et des autres productions à venir de Remedy. Thomas Puha, directeur des communications du talentueux studio finlandais, a toutefois répondu de manière rassurante. « Beaucoup nous contactent concernant les nouvelles relatives à Annapurna Interactive. Merci pour votre attention ! Mais les accords de Remedy autour des droits de Control 2, Alan Wake et les adaptations de ses licences ont été faits avec Annapurna Pictures. J'espère que c'est clair, il est 5 heures du matin en Finlande, et je subis le contrecoup du jet-lag ».

La situation chez Remedy semble donc sous... contrôle. Tel n'est cependant pas le cas pour d'autres jeux qui sont quant à eux bien en partenariat avec Annapurna Interactive, comme Silent Hill Townfall ou encore Blade Runner 2033. Espérons donc que la situation chez l'éditeur trouvera rapidement une conclusion heureuse. Quoi qu'il en soit, Control 2 et les autres projets du studio finlandais sont en principe hors de danger.

Source : Thomas Puha sur X.com