Depuis quelques temps internet se passionne pour ChatGPT, ce qui pose quelques problèmes dont voici déjà une solution.
Que cela soit sur des forums, chez des streamers ou même sur YouTube, ChatGPT montre à quel point l'intelligence artificielle peut se montrer impressionnante et bluffante. Notamment dans son "raisonnement" et dans l'élaboration de textes. Car oui, pour ceux qui ne savent pas, il s'agit d'une IA qui développée par OpenAI et qui est spécialiste dans le dialogue. Le problème c'est qu'elle peut servir à de mauvaises fins, comme par exemple rendre un devoir universitaire ou propager des fausses informations.
Une arme ultime contre ChatGPT
Dans ce contexte, Edward Tian, un jeune homme actuellement étudiant, vient de mettre au point un programme qui permet de vérifier très simplement en entrant un texte, si il a été conçu ou non par une IA. En une analyse, vous pouvez voir si c'est un humain ou une machine qui est l'auteur d'un texte. Ainsi donc, plus les phrases et la structure du texte apparaissent aléatoires à GPTZero (le nom de l'application de Edward Tian) plus l'application sera "surprise" et offrira une réponse précise via un score.
Pour vous permettre de comprendre de quoi il s'agit, l'homme a posté un exemple très concret sur son réseau social via une vidéo pédagogique :
J'ai passé le Nouvel An à construire GPTZero - une application qui peut détecter rapidement et efficacement si une rédaction est de type ChatGPT ou humaine.
voici une démo rapide avec le "cadre de référence" de john mcphee
Miracle de la technologie, plus le texte intégré dans le logiciel est long, plus le diagnostic sera précis comme autant de symptômes qu'un médecin peut détecter. Ce type de logiciel pourrait avoir le droit à une démocratisation rapide à l'avenir, notamment dans le milieu universitaire. On imagine par exemple un professeur scanner un texte de son élève pour vérifier qu'il en est bien le digne auteur. D'ailleurs l'étudiant précise :
Depuis hier, plusieurs fonds d'investissement se sont glissés dans mes DMs sur Twitter.
Bref, une belle arme qui va permettre dans l'avenir de vivre avec l'IA de manière plus saine.