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Un étonnant passé
Intéressant de constater qu'en 2004, Killzone est le premier jeu conçu par Guerrilla Games (Amsterdam). Auparavant, les membres de l'équipe avaient développé 4 jeux sur... Game Boy Color et Game Boy Advance. La société s'appelait alors Lost Boys Games.
A l'origine, lorsque le tout premier Killzone a été montré à Sony début 2000... il devait s'agir d'un jeu PC. Conquis, Sony a alors signé un contrat d'exclusivité avec Guerrilla pour que le jeu ne sorte que sur PlayStation 2. Près de 2 années ont été dédiées à la pré-production, une longue période permettant de cerner les capacités de la machine de Sony pour tenter de l'exploitater au maximum de ses possibilités.
Rappelons qu'initialement, Killzone 2 devait coir le jour sur PlayStation 2... mais en cours de développement, il fut décidé de basculer sur PlayStation 3.
Exclusivité ?
Au début de son existence, Guerrilla Games n'a pas développé que pour le compte de Sony. ShellShock : Nam '67 a ainsi été édité par Eidos en 2004. Mais depuis décembre 2005, Guerrilla a été racheté par Sony, intégrant ainsi les Sony Computer Entertainment Worldwide Studios.
La saga en chiffres mondiaux
- Killzone (PS2) : 2,2 millions ventes
- Killzone : Liberation (PSP) : 630.000 ventes
- Killzone 2 (PS3) : 2,6 millions ventes
Au-delà des similitudes évidentes entre la représentation des Helghasts et le Nazisme, le design des casques et la tenue en général des Helghasts s'inspireraient directement des "Protect-Gears" que l'on retrouve dans Kerberos Saga (Jin-Roh) de Mamoru Oshii.
Les armes sont aussi très fortement inspirées du LR 300 américain, du Famas français et du G36 allemand.
Une parodie pour finir ?