Il y a une quinzaine d’années, le choix d’une souris gaming dédiée au jeu vidéo était rapide. Depuis, de nombreuses fonctionnalités sont arrivées et s’il reste facile de décider entre filaire ou sans-fil, on a parfois plus de mal à déterminer si le poids a son importance ou si la présence d’un bouton « sniper » voire d’un mini-stick est digne d’intérêt. Allez, on va vous aider un peu avec une sélection de six modèles « top moumoute ».

souris gaming

Notez bien que nos six modèles sont autant une sélection par les fonctionnalités embarquées que par le prix. Les tarifs pratiqués par les constructeurs les plus en vue se sont envolés et il n’est pas nécessaire d’évoquer la pandémie de Covid-19 ou la guerre en Ukraine : cette inflation est plus ancienne. Heureusement, il reste possible de dénicher d’excellents modèles à moins de 50 euros et nous nous sommes faits fort de ne pas atteindre les 200 euros. Si, si, il existe de « bêtes » souris à ce prix.

Comparatif des meilleures Souris Gaming 2023

SteelSeries Rival 3 : un petit prix qui ne s'en laisse pas compter

Nous débutons justement cette sélection par l’un des plus petits prix pour un produit de grande marque. En effet, SteelSeries distribue toujours un modèle qu’il qualifie d’accessible et, en ce moment, il s’agit de la Rival 3. Une souris évidemment simple – pour ne pas faire augmenter les coûts – mais jamais simpliste. Bien sûr, le capteur optique d’une sensibilité de seulement 6 200 points par pouce fera tiquer les joueurs exigeants, mais pour l’immense majorité des utilisateurs, ce sera suffisant. SteelSeries n’a pas sacrifié l’ergonomie de sa souris qui tient parfaitement en main et saura convenir aussi bien à celles des enfants qu’à celles de adultes avec toutefois un bémol : les gauchers ne sont pas pris en compte. En plus de faire baisser son prix, la simplicité de la souris a un autre avantage : elle en limite sérieusement le poids et à 77 grammes, c’est un modèle très léger. Notez que notre référence est la version filaire (USB) de la Rival 3, mais que pour quelques euros de plus, SteelSeries distribue une déclinaison sans-fil (Rival 3 Wireless) au poids légèrement plus élevé.

ON AIME
✅ Grande marque, mais petit prix
✅ Qualité de glisse très agréable
✅ Excellente prise en main, poids limité (77g)
✅ Mémoire interne pour stocker jusqu’à 5 profils

ON N’AIME PAS
❌ Conçue exclusivement pour les droitiers
❌ Sensibilité du capteur (6200ppp) un peu limite

Glorious Model O : la souris poids plume

Encore peu connue, la marque Glorious a focalisé sa communication sur les joueurs professionnels à la recherche de la souris la plus légère pour ne pas être handicapés durant les parties compétitives. Ainsi, la souris Model O est ce que l’on peut appeler un poids plume. En effet, elle n’accuse que 58 grammes sur la balance et il faut vraiment chercher pour trouver produit plus léger. Forcément, pour atteindre une telle valeur, Glorious a été contraint de faire quelques sacrifices et il n’est logiquement pas question de trouver de version sans-fil : la batterie serait bien trop lourde. De la même manière, tout ce qui est bouton supplémentaire ou petits accessoires est passé à la trappe et la Model O est sans doute l’une des souris les plus simples de notre sélection. À ce titre, le capteur optique retenu par Glorious est une petite déception : le PWM-3360 est certes un modèle précis et fiable, mais sa sensibilité se limite à 12 000 points par pouce. Les joueurs les plus exigeants, habitués à des valeurs de plus de 20 000 voire 25 000, vont grincer des dents. Pour le reste, c’est une belle réussite.

ON AIME
✅ Difficile de faire plus légère (58g)
✅ Larges patins PTFE pour une excellente glisse
✅ Bonne prise en main
✅ Capteur classique, mais efficace

ON N’AIME PAS
❌ Avant tout conçue pour les droitiers seulement
❌ Dos alvéolé qui peut gêner certains utilisateurs
❌ Fonctionnalités globalement limitée

Razer Basilisk V3 : le modèle « bien sous tous rapports »

Du très large catalogue Razer, nous avons décidé de sortir la Basilisk V3. Il n’y avait que l’embarras du choix chez le constructeur qui se fait un plaisir d’offrir des souris de toutes les formes… mais pas forcément à tous les prix. La Basilisk V3 n’est d’ailleurs pas loin d’être son modèle le plus accessible alors qu’elle est tout de même facturée environ 60 euros. À ce prix, pas de question de sans-fil, mais le câble souple est une petite merveille de confort, il se fait complètement oublier. La Basilisk V3 se distingue aussi par son très joli éclairage RVB, bien sûr entièrement paramétrable. On regrette toutefois que la souris soit relativement lourde pour un modèle filaire : à 101 grammes, elle pourrait entraîner une petite fatigue. Notons que Razer ne vend qu’une version pour droitiers et qu’avec ses 11 boutons programmables – bien pratique sur de nombreux jeux – elle ne saurait être qualifiée « d’ambidextre ». Tant pis pour les gauchers. Enfin, à ce prix cela mérite d’être soulignée : Razer a opté pour une molette débrayable. Celle-ci peut donc fonctionner normalement, avec des crans, mais aussi de manière complètement libre : c’est particulièrement agréable en bureautique ou navigation Web, mais un peu moins utile en jeu.

ON AIME
✅ Prise en main très confortable
✅ Molette débrayable
✅ 11 boutons programmables
✅ Joli éclairage RVB

ON N’AIME PAS
❌ Conçue exclusivement pour les droitiers
❌ Souris peut-être un peu lourde (101g)
❌ Molette qui manque d’un peu de fermeté

Corsair Katar Elite Wireless : une autonomie « sans limite »

La gamme Katar n’est pas une nouveauté chez Corsair qui la renouvelle régulièrement. La dernière en date n’est autre que le modèle Elite Wireless, une version qui, vous l’aurez compris, se distingue par son fonctionnement sans-fil. Il reste possible de l’utiliser branchée au PC, mais la liberté autorisée par le mode sans-fil est particulièrement agréable. C’est d’autant plus vrai que la Katar Elite Wireless est un modèle très compact (11,6 x 6,4 x 3,8 centimètres) et redoutablement léger malgré la présence de la batterie (seulement 69 grammes). De plus, la batterie a le bon goût de lui offrir une excellente autonomie pour un modèle aussi ramassé : on peut compter sur un peu plus de 60 heures en sans-fil RF 2,4 GHz et même plus de 110 heures en mode Bluetooth. La triple connectivité de la Katar Elite Wireless est un autre de ses avantages : on peut l’utiliser en filaire donc, mais aussi en RF 2,4 GHz via le dongle USB livré ou en Bluetooth. Enfin, Corsair ne se moque pas du monde en intégrant les dernières technologies à son produit : cela passe notamment par la présence d’un excellent capteur optique Sabre Pro avec sa sensibilité allant jusqu’à 26 000 points par pouce, sa définition de 650 IPS et sa tolérance à une accélération jusqu’à 50G. Il faudra se lever de bonne heure pour le prendre en défaut.

ON AIME
✅ Un design simple et éprouvé
✅ Excellentes performances du capteur Sabre Pro
✅ Toute petite, toute légère (69g)
✅ Bonne ergonomie
✅ Excellente autonomie (+110h en Bluetooth)

ON N’AIME PAS
❌ Conçue exclusivement pour les droitiers
❌ Peut-être un poil petite pour les grandes mains

Logitech G502X Plus : le nec plus ultra, sans concession

La sortie de la gamme G502X – pour faire évoluer l’excellente G502 – est l’occasion pour Logitech de distribuer non pas une, mais trois souris. De la G502X « tout court » au modèle G502X Plus en passant par la version Lightspeed, il y en a pour tous les goûts, à défaut d’être pour tous les budgets. En effet, sans être hors de prix, même la moins chère des G502X est facturée 90 euros par Logitech. Reste que l’on en a vraiment pour notre argent avec ce modèle qui reprend bien sûr tous les atouts des précédentes versions. On profite donc d’emblée d’une ergonomie parfaite grâce à un design ajusté au fil des ans. Attention toutefois, Logitech ne commercialise pas de version pour gauchers. Dommage. Nous retrouvons bien sûr cette remarquable molette débrayable, crantée comme il faut pour les FPS par exemple ou « libre » sur un jeu de stratégie voire lors de la navigation Web. La G502X dispose aussi de 9 boutons entièrement programmables, d’un excellent grip pour une prise en main assurée et d’un bouton de « sniper » pour réduire la sensibilité à la volée. Comme si cela ne suffisait pas, Logitech a bien sûr mis à jour le capteur optique pour intégrer son excellent Hero 25K et propose des contacteurs Lightforce sur les boutons. Enfin, les versions Lightspeed et Plus sont des modèles sans-fil pour davantage de liberté. Que demander de plus ?

ON AIME
✅ Ergonomie absolument remarquable
✅ Excellence du capteur Hero 25K, des switchs Lightforce
✅ Total de neuf boutons programmables
✅ Confort d’une molette débrayable et impeccable

ON N’AIME PAS
❌ Tarification justifiée, mais élevée
❌ Conçue exclusivement pour les droitiers

ASUS ROG Chakram : les fonctionnalités avant tout

Notre sélection s’achève avec un modèle un peu particulier que nous ne saurions trop vous conseiller d’essayer avant d’acheter. En effet, la gamme ROG Chakram d’ASUS se distingue par la présence d’un mini-stick en lieu et place de ce que l’on appelle souvent le bouton « sniper ». Ce mini-stick est bien sûr entièrement paramétrable et fonctionne vraiment comme un joystick. En ce sens, il peut être associé au contrôle de la vue dans une voiture ou un simulateur de vol. Il est également possible de lui attribuer le déplacement de la mini-carte dans un jeu de stratégie. En réalité, il ne tient qu’à vous d’imaginer les usages possibles pour ce qui décuple évidemment les fonctionnalités. En revanche, il faut reconnaître que sa position – au niveau du pouce – nécessite un certain temps d’adaptation et que certains joueurs resteront réfractaires. De plus, cela empêche évidemment toute utilisation de la souris avec la main gauche alors qu’ASUS ne propose pas de version pour gaucher. Pour le reste, la ROG Chakram est un modèle finalement assez classique qui fonctionne en filaire ou en sans-fil avec, dans ce mode, une autonomie d’environ 90 heures. Pas mal. La ROG Chakram existe en deux versions selon que vous optiez pour le capteur 16 000 points par pouce ou le tout récent ROG AimPoint à 36 000 points par pouce et un polling rate de 8 000 Hz. Cette dernière mouture, la ROG Chakram X, est sensiblement plus onéreuse.

ON AIME
✅ Connexion filaire, Bluetooth, RF 2,4 GHz et excellente autonomie
✅ Le principe du mini-stick et ses nombreuses applications
✅ Capteur de qualité sur la Chakram comme la Chakram X
✅ Une bonne ergonomie générale

ON N’AIME PAS
❌ Conçue exclusivement pour les droitiers
❌ Tous les joueurs ne sont pas faits pour le mini-stick
❌ Tarification relativement élevée

Ce qu’il faut savoir pour bien choisir sa souris gaming

Une souris pour chaque type de jeu ?

Vous vous en doutez, il n’est pas question de changer de souris avant de lancer le jeu pour choisir le modèle le plus adapté. Non, il s’agit plutôt de vous faire remarquer qu’il existe vraiment des souris adaptées à chaque type de jeu. Par exemple, les modèles les plus légers auront un intérêt particulier sur les jeux compétitifs les plus nerveux de type FPS par exemple. Au contraire, des souris peut-être un peu plus lourdes, mais dotées de nombreux boutons seront bien pratiques pour aborder les MMO voire les MOBA : on peut attribuer des macros très complètes à chacun des boutons.

L’idée est donc de choisir sa souris en fonction des jeux qui ont votre préférence, des catégories dans lesquelles vous êtes le plus susceptible d’avoir besoin d’un modèle de grande qualité. Notez que certaines souris comme les produits à molette débrayable sont aussi indiquées pour le jeu vidéo que pour des tâches de « bureautique » plus classiques ou de la navigation Web. Enfin, ne négligez évidemment pas les souris les plus simples : en limitant le nombre de fonctionnalités disponibles, il est aussi plus aisé de s’adapter à de nouvelles situations, on n’est pas encombré par des accessoires devenus inutiles.

Pour vous, ce sera filaire ou sans-fil ?

À côté du budget que vous êtes prêts à mettre dans votre nouvelle souris, la question du filaire ou du sans-fil est sans doute celle qui parlera au plus de monde. En réalité, elle n’est pourtant pas si centrale dans la mesure où de plus en plus de souris filaires disposent de câbles extrêmement souples. Ces derniers ne gênent donc plus vraiment leur utilisateur, mais nous comprenons qu’il en reste de complètement allergiques à toute forme de fil.

Pour eux, le modèle sans-fil sera donc un must, mais il ne faut pas oublier que cela suppose aussi de prendre quelques précautions. Tout d’abord, le sans-fil en Bluetooth entraîne souvent quelques soucis de latence : on est alors un peu moins réactif dans la partie qu’avec un modèle filaire et, pour une souris gaming, c’est dommage. Le Bluetooth doit plutôt être vu comme une solution secondaire, de dépannage. Pour une souris réactive, le filaire et le sans-fil 2,4 GHz sont à privilégier.

Ce dernier fonctionne avec un dongle que l’on branche sur un port USB du PC, mais il pose un autre problème : celui de l’autonomie. En effet, si le Bluetooth est très sobre, le RF 2,4 GHz draine plus rapidement les batteries. Faites donc attention à ce que l’autonomie de votre modèle soit supérieure à 50 heures, histoire d’avoir le temps de vous retourner. Notez qu’il n’existe pratiquement plus de souris sans-fil exploitant les piles plutôt que les batteries.

Quelle est l’importance du capteur ? Laser ou optique ?

Notre seconde question n’est là que pour la forme tant les capteurs laser se font aujourd’hui rares. Ils avaient l’avantage d’être bien plus réactifs que les capteurs optiques, mais ces derniers ont fait de tels progrès qu’ils ont poussé dehors les capteurs laser qui, pour ne rien arranger, sont bien plus chers et plus contraignants quant aux surfaces de glisse utilisées.

Si la question de la technologie laser ou optique est vite tranchée, il faut encore tâcher de s’y retrouver dans la jungle des capteurs disponibles. De manière on ne peut plus schématique et suivant l’adage qui peut le plus peut le moins, orientez-vous vers le modèle disposant de la sensibilité la plus importante. Attention, ce conseil vaut pour deux souris autrement très proches l’une de l’autre. En effet, opter pour un capteur 36 000 points par pouce aura vite fait de faire exploser votre budget pour un intérêt somme toute limité.

Pour des joueurs un peu exigeants, il est préférable de partir sur un capteur de 12 ou 16 000 ppp. En-dessous, c’est encore jouable pour de nombreux amateurs alors qu’au-dessus c’est presque inutile. Enfin, la sensibilité du capteur ne fait pas tout et comparer – quand les données sont disponibles – sa définition ainsi que sa tolérance à l’accélération n’est pas une mauvaise idée. La première détermine en partie la précision du capteur quand la seconde joue sur sa tendance à « décrocher » lors de mouvements rapides.

La taille, le poids et l’ergonomie

Sur cette triple question, nous ne serons hélas pas d’un très grand secours si ce n’est pour vous rappeler 1/ de faire attention et 2/ qu’il existe pas mal d’options en la matière. En effet, pour déterminer quelle taille de souris est faite pour vous, il faut déjà voir de quelle taille est votre main et comment vous avez l’habitude de tenir votre souris : du bout des doigts ou avec la paume qui repose sur le dos du périphérique ?

Notez toutefois que certaines souris sont particulièrement larges ce qui peut être très gênant pour des mains graciles, des mains d’enfants. À contrario, certains constructeurs ajoutent une espèce d’excroissance pour faire reposer la tranche de la main et l’auriculaire histoire d’avoir un confort un peu plus important. C’est d’autant plus vrai que la souris est lourde, mais là encore, nous ne saurions choisir à votre place.

Sachez que le poids d’une souris n’est pas à négliger et qu’il ne faut pas se fier aux impressions après un test de quelques dizaines de seconde. Le poids de la souris s’apprécie sur de longues sessions. Depuis quelques années, sous la pression des joueurs professionnels, les souris ont subit de sévères cures d’amaigrissement et il n’est pas rare de trouver des modèles à moins de 70 grammes. À l’inverse les souris de plus de 120 g ont presque disparu.

Enfin, l’ergonomie s’apprécie souris en main, mais il est ici important de souligner que rares sont les modèles dits « ambidextres » qui conviennent aussi bien aux droitiers qu’aux gauchers. Il est toutefois à noter que quelques constructeurs prennent la peine de fabriquer des modèles symétriquement inversés de leurs souris pour droitiers. C’est généralement réservé aux modèles les plus vendus.

Boutons, molettes, stick et logiciel : les petits plus qui font la différence

Il y aurait encore beaucoup à dire sur le choix d’une souris, mais il nous semble important de conclure ces quelques conseils en évoquant la question des « petits plus ». En premier lieu, ce sont évidemment les boutons dont dispose la souris qui ont de l’importance. Nous ne parlerons pas des deux boutons principaux, mais plutôt de la présence de boutons au niveau du pouce, d’un bouton dit de « sniper » voire d’autres éléments. En effet, quelques souris peuvent ainsi atteindre 6, 9 voire 12 ou 15 boutons.

Le besoin pour de tels boutons est à relier aux jeux envisagés. Ainsi, le bouton de « sniper » permet de baisser temporairement la sensibilité du capteur : c’est très utile pour viser plus précisément un ennemi au moment de l’envoyer ad patres. Bien sûr, c’est plus utile pour un FPS. Au contraire, les souris dotées de 12 ou 15 boutons seront inconfortables pour un FPS et s’achètent plutôt pour les MMO ou les MOBA. La question de la présence du mini-stick comme sur l’ASUS ROG Chakram est finalement assez proche de celle des boutons.

En général, le mini-stick a l’avantage d’être placé un peu à l’avant du pouce : il ne sera donc pas trop gênant si vous ne l’utilisez pas, lors de vos parties de FIFA par exemple. Le surcoût qu’il engendra impliquera tout de même de lui trouver un intérêt au moins sur quelques jeux pour, par exemple, déplacer la mini-carte d’un jeu de stratégie temps réel ou accéder aux différentes vues d’une simulation automobile. Le mini-stick a surtout l’avantage d’être très ouvert et peut-être imaginerez-vous des usages auxquels n’ont pas pensé les créateurs.

La molette est un accessoire souvent moins considéré par les joueurs. Il est vrai qu’à partir du moment où la rotation est bonne et les crans bien marqués, c’est souvent une affaire qui roule. N’oublions tout de même pas les clics latéraux ou la possibilité de débrayer la molette pour un mouvement libre, sans aucun cran. Enfin, et là il est impossible de couvrir toutes les options, mais la qualité du logiciel compagnon est un dernier plus : en fonction de son interface et des réglages options disponibles vous pourrez redécouvrir votre souris.

Problème, à l’heure actuelle, la plupart des constructeurs ont tendance à alourdir considérablement leurs programmes. Ainsi, Razer Synapse est très complet, mais aussi très fouillis tandis qu’Armoury Crate d’ASUS souffre d’une certaine instabilité. Le Swarm de Roccat commence doucement à accuser son âge, même s’il reste l’un des plus souples.

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