Et c'est auprès de nos confrères de Kotaku que Brendan Greene, le célèbre créateur du phénomène multijoueur de cette année 2017 s'est longuement entretenu, pour déjà parler de l'avenir de PUBG. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que le gaillard déjà réputé pour son franc-parler ne s'envoie certainement pas des couronnes de fleurs sous prétexte que la "version finale" de son jeu disponible depuis le mois de mars en early access est officiellement disponible :

Nous voyons la version 1.0 comme la fin du commencement. Le jeu a toujours des problèmes : des crashs persistent, on essaye de les réparer comme on peut. Mais on travaille vraiment à leur résolution, c'est un vrai marathon pour nous.

Mais les regards de tous les joueurs avides d'un Chicken Dinner se tournent déjà vers l'année à venir, qui s'annonce riche en améliorations.

L'un des objectifs annoncés par Greene sera de connecter les joueurs à leur personnage : Bluehole prévoit ainsi d'ajouter un système de niveaux et de rangs pour encourager cette démarche. L'équilibre global de PUBG va également être retravaillé au cours des prochains mois, puisque l'on apprend dans l'article que l'équipe aspire à faire de PUBG un jeu eSport :

PUBG est déjà un jeu très compétitif, mais l'équipe va maintenant pouvoir reprendre les données du jeu et les réexaminer en détail.

La diversification des maps est également à l'ordre du jour, et on ne fera pas semblant de s'en étonner, dans la mesure où seuls deux environnements sont pour le moment disponibles.

Nous voulons offrir de nouveaux environnements uniques pour les joueurs. Nous étudierons toutes les thématiques qui pourraient nous inspirer, mais l'important est d'offrir des terrains intéressants pour la compétition.

Il va donc sans dire que l'on continuera à parler régulièrement de PUBG au cours des mois à venir, et ce ne sont pas les 30 millions de joueurs déjà convaincus qui s'en plaindront...